Les Religions sont des rituels déguisés
- Sandrine Begey

- 27 sept.
- 2 min de lecture
Depuis des millénaires, l’humanité se croit guidée par la lumière, protégée par Dieu, sauvée par la foi.Mais regarde de plus près : partout, le sang coule.
Dans le judaïsme, on immolait l’agneau, symbole de pureté et de soumission.Dans le christianisme, Jésus devient l’Agneau de Dieu, son sacrifice scelle chaque messe, chaque communion, chaque prière.Dans l’islam, le mouton de l’Aïd est offert à Allah, rappel de l’obéissance totale.Dans le satanisme, le sang est offert directement, carburant des invocations, clef des pactes, énergie brute.
Toujours la même mécanique : le sang comme monnaie sacrée, comme lien entre le monde visible et le monde invisible, comme énergie qui circule et se nourrit des croyances et des émotions des masses.
Et aujourd’hui ? Rien n’a changé, seulement le déguisement :
Les guerres, les massacres, les attentats… chaque effusion de sang nourrit les mêmes égrégores que les rituels antiques.
Les concerts, les clips, les spectacles géants… des rituels modernes où le sang, la peur et la passion collective sont transformés en énergie invisible.
Les symboles – pyramides, triangles, croix inversées, yeux qui voient tout – sont les mêmes sceaux occultes que dans les temples anciens, mais déguisés en divertissement ou en mode.
Les religions ne sont pas que croyances : elles sont des systèmes occultes.
Les prêtres, rabbins, imams sont des officiants qui manipulent l’énergie collective.
Les rites, les chants, les prières, les processions sont des invocations déguisées.
Les sacrifices, du mouton à l’Agneau-Christ, sont des offrandes à des forces invisibles.
L’ombre et la lumière ne sont que deux faces du même théâtre :
L’un impose l’obéissance par la foi et la peur.
L’autre exalte la rébellion et la transgression.Mais tous deux exploitent les mêmes leviers : sang, rituel, symbole, émotion humaine.
Aujourd’hui, ces rituels ont migré dans le monde moderne.On a troqué l’encens contre les lasers, les processions contre les shows, les autels contre des scènes et des écrans.Mais le principe reste identique : canaliser l’énergie collective pour nourrir des égrégores, visibles ou invisibles, sacrés ou occultes.
Et toi, regarde bien : ce fil rouge du sang, ce théâtre caché, traverse toutes les croyances, toutes les sociétés, tous les siècles.Ce n’est pas une question de foi, mais de puissance et d’énergie.
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